Pour cette sculpture l’idée de départ était de tenir en équilibre deux branches d’essence différentes avec une structure ajourée. Les branches traversent donc la structure en métal qui les maintient en place à la manière d’un exosquelette. Des lignes de forces apparaissent à la surface de l’exosquelette qui, malgré le caractère mécanique des motifs rectangulaires qui se répètent et qui constitue sa peau, semblent s’enrouler créant des lignes de tensions à la manière des muscles du bras. Comme toujours les branches sont différentes d’un exemplaire à l’autre puisqu’elles sont choisies individuellement pour leur forme et leur matière dans la forêt. La nature ne fais jamais exactement deux fois la même chose !